Amnésie Meurtrière : Roman Thriller en cours ...

Bonjour à tous !
Je m'essaie à un autre style d'écriture qui me tient particulièrement à cœur car oui J'ADORE les #thrillers et #roman noir, ces histoires qui vous tiennent en haleine jusqu'au bout ! La fin tragique vous met dans tous vos états et quand vous fermez définitivement le livre que vous venez d'achever de lire, vous en avez pour un bon moment à vous en remettre... Un bouquin qui vous laisse ... sur les fesses.. pour être polie (^-^) je n'éprouve cette sensation avec rien d'autre et c'est ce que j'aime par dessus tout...

Alors voilà... Je me suis lancée dans l'écriture d'un roman noir que je viens d'achever. La période de relecture et d'amélioration est en cours. J'espère qu'il trouvera sa maison d'édition en 2022, car oui, pour ce livre, je ne vais pas l'auto-éditer (à moins que personne n'en veule bien sûr, sniff!)


Bref, je vous offre une petite partie de mon préambule et la 4ème de couverture que je viens d'achever.

Amnésie Criminelle par Stéphanie Pluquin

à vos avis et commentaires ! Bonne lecture à tous !
  • 1ère page du préambule :

 

Grâce à sa faculté à pouvoir procréer, la femme a toujours été réduite à cette seule utilité dans la société, et ce, depuis la nuit des temps. Outre le fait que devenir mère était une obligation pour être considérée comme une véritable femme, le fait de devoir servir, soutenir et magnifier les hommes étaient un devoir.   Longtemps considérée comme l’être  humain secondaire, elle a dû se battre pour enfin obtenir la place qu’elle occupe dans la société d’aujourd’hui. On aime dire  qu’elle est l’égal de l’homme et pourtant, les clichés et préjugés ont la vie dure. Il n’y a pas si longtemps que cela, même pas un siècle, elle a réussi à s’émanciper et a gagné enfin un peu de reconnaissance et de libertés. Néanmoins, les hommes se considèrent encore et toujours comme les êtres suprêmes et indispensables à la bonne marche de la société. Oublieraient-ils d’où ils viennent ?  Bien entendu, un homme et une femme sont nécessaires pour créer la vie,  mais seule la femme peut accomplir le miracle de la donner et ce choix doit leur appartenir, à elle et à elle seule. Loin d’elles le souhait d’être considérées comme des êtres d’une importance capitale, pour autant, être réduites à cette seule fonction est inacceptable. Douées d’une intelligence égale à l’homme, évidence qui peine encore à être reconnue, elles ne cessent de prouver à ce monde moderne qu’elles sont capables de mener de front une  carrière professionnelle ambitieuse et une vie de mère exemplaire. Gravissant une  à une les marches d’un escalier qui les mène vers un statut d’être humain égalitaire, douées d’intelligence, de bon sens et de facultés multiples, il est clairement dégradant de devoir continuer à le prouver continuellement. On se dit vivre dans une société moderne et ouverte aux mœurs changeantes, mais le chemin est encore long pour que chacun accepte que l’autre ait le droit de vivre sa vie comme il le souhaite. Nombreux sont les exemples où l’on applaudit un homme qui gère une entreprise florissante, un autre qui s’implique dans des actions humanitaires ou sociales, un sportif de haut niveau, un artiste, un homme public, scientifique, politique …. Mais encore trop peu de femmes sont représentées et applaudies pour ce qu’elles accomplissent. Stigmatisées et enfermées dans cet unique rôle de mère, qui est sois dit en passant le plus beau, les femmes qui n’ont pas d’enfants, par choix ou non, sont toujours considérées comme des femmes marginales qui refusent cette part de féminité pour provoquer la gent masculine. Ces clichés tout droit sortis des temps passés continuent de perdurer dans cette société qui se veut être juge et  bourrelle. N’oublions pas non plus, qu’il y a une soixantaine d’années à peine, les femmes qui se retrouvaient enceintes sans l’avoir désiré devaient alors accepter leur sort ou être hors la loi en mettant leurs vies en danger pour avorter de celle dont elles ne pourraient pas prendre soin. Véritable traumatisme évidemment non pris en considération. Montrer du doigt pour être des femmes faciles et légères, elles n’avaient souvent pas  d’autre choix que de se cacher pour mettre au monde ces enfants de la honte et de devenir mères par obligation. Certaines ont rempli leur rôle avec beaucoup d’amour, pour d’autres, ce fut plus difficile et les abandons d’enfants et les naissances sous X  ont bien sûr étaient nombreux, sans parler des violences familiales dans lesquelles certains ont dû grandir sans jamais comprendre pourquoi leurs mères ne les aimaient pas. La légalisation de l’avortement a, à mon sens, évité toutes ces dérives, injustices et maltraitances humaines, cela dit, l’avènement des moyens de contraception est une découverte scientifique extraordinaire qui permet aux  femmes de décider et de disposer de leurs corps comme bon leur semble. Pour toutes ces raisons, je tenais à rendre hommage aux femmes qui sont courageuses, admirables et méritent le respect. Elles ont le droit d’être tout simplement elles-mêmes, un être libre et ce, peu importe leur choix de vie.

  •   4ème de couverture :

Violette Prévot, psychiatre à la  vie familiale compliquée a créé  un groupe de soutien pour libérer la parole de femmes qui, tout comme elle,  font face à la terrible douleur d’être infertiles ou stériles. Ainsi, Laure, Amanda, Babeth,  Patricia  et quelques autres se retrouvent chaque jeudi pour partager leurs expériences et retrouver un peu d’espoir.  Toutes prisonnières d’une psychose plus ou moins dévastatrice, certaines sont prêtes à tout pour connaître un jour le bonheur suprême et l’illégalité de certains moyens pour y parvenir ne les effraie pas le moins du monde… 

Un soir, Violette est  agressée et violée. Thomas Puget, son ami et collègue met  sa carrière entre parenthèse pour prendre soin d’elle en collaborant étroitement avec l’inspecteur Gourand. En parallèle, un inconnu est admis aux urgences dans un état critique. Surnommé John pour cause d’amnésie, il tombe peu à peu amoureux de son infirmière dévouée Julia. Des flash-back sanglants et le prénom de Sandra le hantent dans ses cauchemars…

Alors que Violette, harcelée, doit faire face à un coup du sort qui la bouleverse au plus profond de son être, Laure, la meilleure amie de Julia est enlevée et séquestrée. Julia, John et Violette commencent à recevoir des colis aussi mystérieux que terrifiants. Tous étroitement liés sans même se connaître, l’inspecteur va devoir fouiller dans la vie de chacun pour trouver la clé de l’énigme.    Les fantômes du passé vont les rattraper à tour de rôle et les plonger dans une terrifiante chasse à l’homme de laquelle personne ne sortira indemne…                                    

 
  • Tous droits réservés, 2021, Copyright Stéphanie Pluquin, auteure.

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